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LES NEWS DU 7 AOUT 2009

« Qui veut jouer à quoi ? ». Après un certain temps de réflexion, il y aura au programme de cette soirée chez Stéphane une table d’Ur et une d’Art moderne.

Franck, Mathieu, Michel et Yoann testent Ur, un petit jeu assez simple de placement (de cubes) sur des tuiles. Simple mais faut quand même réfléchir ! A cette époque antique, l’objectif est d’avoir le plus de combinaison de tuile de compétence différente (agriculture, commerce, culture, guerre, religion) pour développer sa civilisation. Pas si simple que ça ! Ne pas se planter de tuile car c’est elle qui déterminera les actions du prochain tour. Dans quel ordre développer ses compétences ? A quel moment et qui attaquer ? Faut il seulement attaquer ou les tuiles neutres peuvent-elles suffirent ?
Au final, victoire de Franck à l’arrache et dans un mouchoir de poche. La règle prévoyant que la tuile en main à la fin de la partie compte (pas trop logique à mon goût, mais bon, c’est prévu comme ça) fera la différence.

Pendant ce temps là, Dominique, Pierre Yves et Stéphane se font un Art moderne. Jeu d’enchères et de bluff avec le monde des tableaux comme toile de fond (houlà ! quel humour !). Où comment gérer au mieux son argent en achetant le moins cher possible les tableaux d’un artiste que vous sentez prometteur et en vendant le plus cher possible les croûtes d’un futur artiste maudit.
Les tableaux de 5 artistes sont en vente mais seuls ceux des 3 plus demandés seront côtés. Aurez-vous eu le nez creux pour trouver les futurs stars et aurez vous une chance d’acheter quelques unes de leurs toiles ? Comme le jeu est assez court (4 tours de vente), il ne faut pas trop se tromper dans ses achats car rater complètement un tour, c’est prendre un retard difficilement rattrapable.
 
Après un investissement pas très discret sur Sadland grâce à la vente sur deux tours de table de deux tableaux de l’artiste à la fois, Dominique se fait coiffer (pour lui, c’est un comble !) sur le poteau par ses camarades de jeu qui ont la bonne idée de mieux diversifier leurs achats : à la fin de ce premier tour, Sadland se fait devancer par Koriko (arrivé premier) et par Darmoir (ex-aequo par le nombre de tableaux vendus mais naturellement mieux coté…). L’avance déjà prise par Pierre-Yves et Stéphane est indéniable et se maintiendra les tours de jeu suivants. Tandis que Sadland est désormais délaissé (serait-ce lui le peintre maudit ?), Bahut est lui totalement absent du jeu (quelqu’un aurait-il subtilisé son œuvre du plateau de jeu ?), Nex réussit enfin une timide percée, mais les valeurs sûres restent de bout en bout Koriko et Darmoir. Stéphane, par une stratégie d’attaque, clos systématiquement les tours de vente tandis que Pierre-Yves, plus discrètement, spécule et mise sur les bons chevaux… euh peintres. Dominique se réveille enfin au dernier tour de jeu en spéculant massivement sur Koriko mais son retard en gains est
trop important. Grâce à la fameuse combinaison de la carte « double vente » et « vente en un tour » plusieurs fois répétée, Pierre-Yves assomme le jeu et sort victorieux d’une centaine de points (ou milliers d’euros) sur Stéphane.
 
Les deux parties ayant été assez rapides, permutation de tables. .

Pendant que Franck, Mathieu et Yoann essayent à leur tour Art moderne.
Les ventes des deux premiers tours se concentrèrent sur les mêmes artistes, les prises de risques ne se faisant que dans les deux derniers tours. Victoire facile de Mathieu grâce à la vente à une très forte côte au dernier tour de ses Nex.
   
Michel lui préfère rester sur Ur et l’explique à Dominique, Pierre Yves, Stéphane



Seul perdant de la soirée, le brownie qui lui ne verra pas la fin de la soirée.